Nous nous sommes rencontrés sur son lieu de travail (RUNGIS)
et ce fut immédiatement le coup de foudre....
Alexia est très jalouse.....
Présentation officielle de la pomme de terre à L XVI.
Mais la Charmeuse Alexia n'était pas encore là.....
Un peu de culture (de pomme de terre) dans ce monde de inculte......
La petite éplucheuse de pommes de terre, huile sur toile, Albert Anker 1886
Tout était prêt pour la plantation......
Et voila reste après une saison........forte en émotion
Pomme de terre Charmeuse Alexia by SeediS
Une petite chanson à partager avec vous mes amis
Quelques expressions pour vous sur moi:
En avoir gros sur la patate », en avoir gros sur le cœur.
« Avoir la patate » : être en forme.
« Mettre une patate » : donner un coup (un coup de poing ou taper dans un ballon).
« Lâche-pas la patate ! » : expression du Québec utilisée pour encourager quelqu'un, synonyme
de : « Tu en es capable, tu vas y arriver ! »
« Faire patate » : échouer lamentablement, manquer de chance.
« Se renvoyer (ou se refiler) la patate chaude » : se renvoyer l'un l'autre un problème
embarrassant, se renvoyer la balle. Cette expression récente, apparue au Québec dans les
années 1970, en Europe dans les années 1990, est un calque d'une expression anglaise plus
ancienne : to drop something like a hot potato.
« Être gros comme une patate » : avoir un surplus de poids significatif.
En mathématiques, une « patate » est une courbe fermée sans forme bien définie qui représente
un ensemble. On dit aussi « patatoïde »
La pomme de terre dont la pénurie a tué plus d’un million d’Irlandais au milieu du 19e siècle, et en a fait immigrer 1 million de plus, est de retour après plus de 170 ans d’absence. A nouveau cultivée en Irlande du Nord, la tristement célèbre «Irish Lumper» sera en vente dans les rayons de Marks & Spencers, peut-on lire sur The Irish Times.
Une épidémie de mildiou, maladie parasitaire, avait décimé les cultures de cette variété de pomme de terre, que l'on cultivait particulièrement dans les régions les plus pauvres d’Irlande. La très faible variété génétique des cultures d’Irish Lumper, due à la multiplication des plants par bouturage (qui équivaut à du clonage), ne leur avait offert aucune chance de résistance au mildiou. La dévastation des cultures de cette pomme de terre, associée à la passivité du gouvernement et à une politique ultra-libérale qui a permis aux marchands de continuer à exporter, notamment des céréales, a mené à la Grande Famine d’Irlande entre 1845 et 1852.
Outre sa sombre histoire, cette pomme de terre était également réputée pour son «goût horrible» et sa «texture savonneuse», selon Michael McKillop, directeur de l’entreprise agricole Glens of Antrim Potatoes, qui a relancé la culture de l’Irish Lumper. Après en avoir fait pousser quelques-unes, il aurait été «stupéfié par leur bon goût».
Pourtant, Alan Romans, auteur du livre The Potato Book, avait prophétisé en 2009 auprès du Telegraph que «personne ne mangerait [l’Irish Lumper] aujourd’hui. Cela montre à quel point les Irlandais étaient démunis et déterminés à survivre».
La pomme de terre sera vendue prélavée et emballée dans des sachets dans les magasins Marks & Spencers pendant trois semaines seulement, le temps, selon The Irish Times, d’écouler la récolte.
Si le goût ne s’avère pas à la hauteur, la curiosité et une certaine nostalgie pourraient cependant permettre à la Irish Lumper de devenir star des cuisines, pour un temps au moins. En 1995, le quotidien de Washington The Ellensburg Daily Record avait fait état de l’arrivée de l’Irish Lumper sur le marché américain et plus particulièrement sur la côte Est, où une grande partie de la diaspora Irlandaise est installée. Dans l’article, Tom Stones, le microbiologiste à l’origine du projet, racontait avoir apporté quelques pommes de terre dans un pub irlandais, que «les clients avaient mangées crues» en se souvenant «de leurs ancêtres». Certains auraient même versé une larme.
source; slate.fr
Les lundis soir, les amateurs de bonne bouffe se branchent sur la 6 pour regarder le concours de cuisine le plus connu de France. Récemment, les cuistos ont dû « sublimer » la pomme de terre en la déclinant en plusieurs plats. Une jeune Dijonnaise s’imagine : « Moi, j’aurai fait une pomme de terre en chemise », confie-t-elle à son amie. « C’est quoi ça ? », répond-elle. « Tu sais, c’est la patate dans de l’alu, coupée en deux avec de la crème dedans », explique la première. « Non, ça, c’est des pommes de terre en robe de chambre », rétorque l’autre. La Dijonnaise poursuit : « Tu te trompes, on dit pomme terre en robe des champs ». Débat inutile. Après vérification, les trois termes désignent bien le même plat.
source: http://www.bienpublic.com
Comment me Charmer........
La beauté a un goût. Pomme de terre plaisir, la pomme de terre Charmeuse Diadème est une nouvelle actrice .
Née dans un écrin de verdure.
Sa période de gestation fut très longue :
10 années ont permis d’obtenir
Un talent : son goût
Une belle robe : sa peau claire
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Un principe :son respect envers la nature
La pomme de terre Charmeuse Diadème donne envie, suscite du désir, déclenche l’enthousiasme et enchante notre imagination.
Elle nous invite à la convivialité, à la générosité et à l’excitation de nos papilles.
C’est une autre façon de manger.
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Une formidable aventure s’annonce pour la pomme de terre Charmeuse Diadème.
